💬 "Le harcèlement, moral ou sexuel, c'est une réalité dans mon entreprise" : qui ose dire ça ?
Et pourtant... ne rien dire, ne rien faire, est-ce une forme de "consentement passif" ?
👉 Voici une réflexion puissante, inspirée d’un article paru dans La Croix :
Le « consentement meurtrier passif » n'accuse pas, mais interroge.
Il révèle comment nous vivons avec des violences qui nous indignent, mais contre lesquelles nous restons souvent inactifs :
Par indifférence,
Par une mauvaise conscience passive,
Par des discours qui banalisent ou légitiment ces actes.
🎯 Face à ces enjeux systémiques, chacun a un rôle à jouer.
🔹 Briser l’indifférence.
🔹 Parler.
🔹 Agir.
💡 En tant que syndicat, nous avons une responsabilité collective et individuelle : accompagner, sensibiliser et soutenir celles et ceux qui osent dire STOP.
🛑 Ensemble, engageons-nous contre toutes les formes de violence au travail.
Belle rentrée avec la CFTC Droit et Chiffres !
Extraits de l'article paru dans La Croix :
Le «consentement meurtrier passif » est une interrogation pour chacun de nous.
Ce « consentement meurtrier passif » ne vient pas séparer coupables et innocents, mais rend compte d’une dimension constitutive de notre appartenance au monde. Nous vivons avec des violences qui nous indignent et contre lesquelles nous ne faisons rien. Marc Crépon en décrit plusieurs niveaux : l’indifférence, la mauvaise conscience qui reste passive, l’encouragement, la participation. Sans oublier l’importance du langage puisque la banalisation, l’euphémisation légitiment la violence et participent de ce consentement. La dimension systémique [...]
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